Vientos del pueblo me llevan
Asturiens de bravoure, Basques de pierre blindée,
Valenciens de joie et Castillans d’âme, labouré comme
la terre et gracieux comme des ailes ; Andalous de la foudre,
né entre guitares et forgé sur les enclumes larmes torrentielles;
seigle d’Estrémadure, Galiciens de pluie et de calme, Catalan de fermeté,
Aragonais de caste, dynamite murciens fructueusement propagé,
Léonais, Navarrais, propriétaires de la faim, de la sueur et de la hache,
les rois des mines, seigneurs de la ferme, des hommes qui parmi les racines,
comme des racines gracieuses, tu vas de la vie à la mort, tu vas de rien à rien :
les jougs veulent te mettre peuple des mauvaises herbes,
jougs que vous devez quitter brisé sur le dos.
(Transcripción propia a partir del poema y del audio de la canción, a falta de fuente escrita; la puntuación y ortografía son estimadas).
Detalles discográficos
Poema relacionado
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Esta versión consiste en recitar, en francés, la quinta estrofa del poema de Miguel Hernández.